Articles avec le tag ‘viande’
Upma gangnaan style – Partie 3
Troisième partie de notre spécial Inde qui finalement en comptera quatre ou cinq, histoire de ne pas faire un pavé indigeste pour vous comme pour moi. Si vous n'avez lu les deux premiers, pas de panique, vous comprendrez l'intrigue, de toutes façon c'est toujours le colonel Curry le coupable, cela dit nous vous conseillons quand même de les lire. La première partie (ici) parlait épices, pains et dips (achar, chutney, raita), et la seconde (ici) abordait le végétarisme, les légumes et les produits laitiers. Logiquement il est maintenant temps de parler de viande. Il restera le riz, la street food, les boissons et les desserts qui seront le thème des prochaines parties.
Wapharnaüm #23
On nous le dit, il fait chaud, il faut s'hydrater alors voici une édition de Wapharnaüm presque intégralement liquide. Comment ça la sauce piquante ça ne se boit pas ?
Une petite bière fraiche pour commencer : la Rhub'IPA, bière née de l'association entre la brasserie St Germain (Page 24) et la norvégienne Nogne Ø. Cette IPA à 6,9% associe 5 houblons océaniens (Australie et Nouvelle-Zélande) à du jus de rhubarbe pour un résultat fruité, doux mais acide. Un mariage de saveur d'agrumes, de fruits exotiques, de miel et bien sûr de rhubarbe qui s'impose en fin, apportant son goût acide si particulier. Trouvable chez Saveur Bière, 2€80 la bouteille de 33cL.
Grrrr
Si j'étais un animal je serais un ours, ce qui explique le surnom Giraf. Déjà on n’embête pas les ours sur des questions de logique, sauf à être suicidaire, et côté caractère ça colle parfaitement. Bon, pour la pilosité ce n'est pas encore ça mais j'y travaille, adieu rasoir. Mais tout cela ne serait rien si je ne rêvais pas de dormir quelques mois de plus par an. Dans ces conditions, goûter de l'ours relève limite du cannibalisme mais la science a ses exigences, surtout la science des dates de fraîcheur apposées aux conserves de survie. Et allez savoir, peut-être que manger de l'ours me conférera sa force et le super pouvoir d'hiberner.
Fin de la traque
Il a fallu 3 ans. 3 ans d'une longue et intense traque pour enfin débusquer cet animal mythique : le crocodile de région parisienne. Un animal fuyant qui ne sort qu'aux périodes de Noël et qui évitait jusqu'alors toutes mes embuscades au bac à gibiers de Auchan. Mes pièges ne se sont pas révélés tout à fait inutiles puisqu'ils ont tout de même permis d'autres prises intéressantes : kangourou et zèbre il y a 2 ans, dromadaire retors en 2013 et même cette année un lama urbain, une espèce endémique de Bordeaux, le plus dur n'étant pas de le repérer mais de le faire monter dans le tram.
Velkomin til Íslands – Partie 4
En Islande, les moutons ne fournissent pas de lait aux habitants mais les habillent chaudement quoique kitschement tout en remplissant les assiettes. Les moutons sont lâchés au printemps et paissent en toute liberté avant d'être récupérés en automne pour la tonte. Un rassemblement aux allures d'expédition nécessitant plusieurs éleveurs tant les moutons s'éparpillent et peuvent atteindre des zones difficilement accessibles.
Wapharnaüm #11
Avec cette tasse, prendre le thé n'aura jamais été aussi classe. Attention, il n'est pas nécessaire de porter des bottes en cuir en même temps.
Jour 17 – Maître Jacques, un drôle de zèbre
La fin d'année et ses célébrations est la période où l'on voit fleurir dans nos magasins des viandes "festives". Au départ ce n'était que les traditionnels gibiers de nos contrées : cerf, sanglier, ... Mais au fil des ans on a vu débarquer timidement des nouveautés comme l'autruche puis le kangourou. Cette année, la marque Maître Jacques, "le boucher des belles occasions", créé la surprise avec une gamme bien fournie de gibiers exotiques. Au programme pas moins de neufs animaux, de quoi commencer un arche de Noé de la viande. Élan, renne, wapiti et bison, presque banals côtoient lama, kangourou, antilope, dromadaire et même zèbre.